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LE VISIBLE ET L'INVISIBLE. FRANCE ELLE.
20 octobre 2021

Sévère et Jeanne D. Partie 1. Premières expériences de soumission. Christian et Sophie.

EROTIQUE 1

Enfin, elle me convainquit. Elle était vraiment en attente. Physiquement, elle commençait à m’intéresser. Intellectuellement, elle m’avait donné assez de marques de sa docilité et de sa perméabilité pour que je puisse lui faire confiance.
Je vins la voir. Sa grand-mère lisait dans une autre pièce dont elle ne sortit pas. Je la fis retirer son corsage et la laissai un moment en soutien- gorge à m’écouter la commenter et l’humilier. Mes paroles la faisaient rougir de telle façon qu’elle baissait les yeux. Je m’entends encore lui dire :
- «Tu as vraiment de très gros seins. Tu sais, dans ton cas, on peut parler de mamelles ! »
J’ajoutai :
-Que dois-je faire de seins pareils ? Ils sont presque difformes ! Tu veux que je les touche, leur fasse du bien ? Tu crois que je peux en avoir envie ?
Elle fit « oui » de la tête de sorte que je la fis caresser puis pétrir ses seins avant de le faire moi-même. Je me mis ensuite à les pincer et à les frapper en continuant de me moquer d’elle et je vis qu’elle commençait à être excitée. Il m’était difficile d’ailleurs de cacher mon propre trouble et elle s’en rendit compte en baissant les yeux. Mon pantalon était devenu étroit.
Sans lui demander quoi que ce soit, cette fois, je relevai sa jupe et baissai sa culotte jusqu’à mi-cuisse. Elle avait le pubis velu, recouvert d’une toison épaisse et brune. J’explorai d’une main puis d’un doigt une intimité encore dérobée mais très suintante et je continuai de mal lui parler d’elle. Il ne me fut pas difficile de constater que mes paroles assez méprisantes provoquaient une excitation physique forte en elle et qu’au bout du compte, elle mouillait abondamment ma main qui la fouillait.
Elle me suggéra de l’insulter de nouveau et je le fis.

EROTIQUE 2

-Tu te laisses facilement mettre la main au soutien-gorge et à la culotte. On dirait bien que tu en -as l’habitude ! Dis-moi, serais-tu une petite putain ?
-Oui…
-Tu es une petite putain, une traînée, alors ?
-Oui
-Et qui donc t’a fait faire des choses ?
-Des hommes dans le quartier…
-Tu as fait ta putain avec des hommes du quartier ! Tu as fait ça !
-Oui, avec deux hommes. Bien plus âgés que moi, des hommes qui ont l’habitude…
-De prendre une putain…
-Oui !
Je vous épargne la suite. Sachez que je ne pus que me réjouir de lui avoir obéi car elle devint fontaine et se mit à couler beaucoup plus encore.
Je la mis nue et la palpai. Elle gémissait et remerciait. La faisant s’appuyer contre une table qui lui servait de bureau, la fis se cambrer ; Je voyais son dos maigre. Sa jupe était relevée. Ses fesses s’écartaient naturellement et ses jambes tremblaient un peu.

EROTIQUE 3


Je me défis pour libérer un membre si raidi qu’il m’en faisait mal. Je n’avais pas d’expérience et ne peux dire que, ce jour- là, je fus brillant mais m’approchant d’elle en tenant mon membre d’une main, je cherchai de l’autre l’orifice par où l’introduire et le trouvai. Je l’enfonçai là avec une certaine rudesse et cherchai ensuite à aller et venir de la manière la plus commode. Elle m’aida comme elle put, s’ouvrant autant qu’elle pouvait et je me maintins bien raide en elle un bon moment. Puis, je me répandis.
Elle cria un peu, se retint, me laissa me retirer et attendit que je l’autorise à changer de position.
Ensuite, je la laissai nue et debout tandis que je me relaxai sur son lit de jeune fille. Bien sûr, il me vint à l’esprit d’une part qu’elle n’était plus vierge et de l’autre que j’avais déchargé en elle qui était fécondable mais je n’eus aucune inquiétude. Cela me vint après. Je venais de trousser et de prendre une fille qui était certes absolument consentante et heureuse qu’on la traite de putain certes, mais elle était de bonne famille et dans le même lycée chic que moi ! Il fallait quand même faire preuve de prudence.
Évidemment, elle était bizarre. Concernant, les hommes expérimentés qui l’avaient prise, elle ne mentait pas même si je ne savais rien d’eux. Et concernant ses dispositions à la servitude sexuelle, je ne pouvais que me féliciter de l’avoir rencontrée, toute laideronne qu’elle fût.

 

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