Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
LE VISIBLE ET L'INVISIBLE. FRANCE ELLE.
19 mars 2020

DOUCEUR DES FEMMES ET AUTRES CHIMÈRES. PETITE.

7x60UgQysdEKq_VE0N0RKnsdY7k

Sa mère, elle le devine, a une poitrine de femme mature dont les attraits sont certains – elle le sait pour les avoir vus il y a peu de temps encore quand mère et fille prenaient encore des bains ensemble- mais ont perdu l’attrait de la jeunesse. En ce sens, elle a l’avantage. Sa mère ne peut, du fait de son opulente poitrine, se passer de soutien-gorge tandis qu’elle, au contraire, peut dans la maison, déambuler aux beaux jours, en Tee-shirt informe et sentir ses seins bouger doucement, au rythme de ses pas. Elle les aime ainsi, libres et vindicatifs, leurs pointes frottant doucement le tissu de son vêtement, sensation pour elle neuve et excitante. Quelquefois, à la dérobée, elle les palpe et se sent fière : ils sont beaux, ils sont à elle. Les hommes regardent la poitrine des femmes et, elle le sait par sa mère et ses tantes ou des amies de ces dernières, ils sont bien bienveillants à l’égard des seins ronds. C’est un attribut féminin incontournable, elle l’a compris, et même sans porter des tenues extravagantes, il faut savoir les mettre en valeur. Sa mère porte toujours de la lingerie raffinée : soutiens gorge incrustés de dentelles et garnis de rubans, culottes hautes, le tout dans des teintes souvent sombres. Le noir et le brun doré mettent en valeur sa peau claire dont l’éclat sous le carcan des bonnets et des bretelles, est sans pareil. A l’intérieur des cuisses, la peau, elle l’a entrevue, est plus claire, d’une texture autre, infiniment attirante et respectable.

 

Publicité
Publicité
Commentaires
LE VISIBLE ET L'INVISIBLE. FRANCE ELLE.
Publicité
Archives
Publicité