Réclusion. Chapitre 3. De rituel en rituel.
Je lui fis écarter les jambes et lui flattant l’entrecuisse, je vérifiai qu’elle était suffisamment mouillée. Puis, je la masturbai un peu. Il y avait si longtemps que je l’avais approchée qu’elle réagit immédiatement en mouillant en abondance. Je lui tendis un gode qu’elle s’enfonça dans le vagin et la faisant se retourner, je fis de même avec son anus. Quand elle fut doublement garnie, elle s’assit sur le fauteuil et resta immobile. Les deux objets s’enfonçaient en elle et l’observai tandis qu’elle tendait de cacher son plaisir. Tandis qu’elle savourait ces enfoncements, je lui palpais les seins et en travaillai les pointes. Elle se gardait de gémir mais là encore, il était clair que se sentant redevenue sexuelle pour moi, elle était contente. Je pris dans un des placards muraux de petites pinces et je les lui ajustai sur les seins. Elle se mordit les lèvres et faillit gémir. Je lui annonçai qu’elle devrait patienter quinze minutes et m’assit, montre en main. Les pinces choisies, je le savais, étaient douloureuses ; elles contrebalançaient l’effet délicieusement trouble des deux godes. Nuit cependant ne dit rien et quand le temps fut écoulé, elle ferma les yeux au moment où je lui retirai ces objets douloureux.
-C’est bien, lui dis-je
Compte tenu du ton que j’avais employé avec elle quand elle était réduite à l’état de domestique (encore que ce mot…), elle avait de quoi être stupéfaite que je fusse si encourageant. Son regard, que j’entrevis, était brillant de joie. Je poursuivi. Je fis basculai le fauteuil de façon à ce qu’elle se retrouvât presque allongée et je retirai d’elle les objets que j’y avais introduits pour mettre en place de plus gros. Elle les supporta bien et continuant de m’offrir un visage un peu fermé, elle parut heureuse de revenir à une matérialité de ce type. Son regard parcourut la petite pièce entièrement tapissée de placards muraux et s’arrêta à une petite table pour revenir à moi. Dans un univers nu comme l’était celui de sa chambre, on peut se décomposer puisque tout tire vers l’ennui et le néant.