
1.Un livre à traduire, deux femmes et des pièges.
Il n'y avait plus de raison de différer la traduction de Kalantica mais Paul préféra au traducteur proposé par lady Brixton une traductrice qui l'avait contacté.
«Je suis ambranienne et connais bien cet auteur. Ce serait un bonheur. »
Eva Richardson, une quinquagénaire qui vivait depuis longtemps en Angleterre était née, comme lui, à Marembourg. Elle avait fait de solides d'études d'allemand et de russe, ce qui lui permettait de s'être fait un nom sur le marché de la...
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