
Je me suis vue travaillant comme une folle pour toujours revenir vers elle puisque ce besoin de recoller les morceaux était vital, chez moi. C'était vain et stupide mais si je restais là où j'étais, je serais sans cesse happée par cet intense désarroi qui me faisait toujours me présenter devant elle, qui hurlait. Je n’ai pas trouvé d’autre solution que de disparaître. J'ai repris mon travail à Chartres et un soir, au lieu de rentrer chez moi, j’ai tout abandonné. J'ai pris un train de nuit pour Paris puis ai poursuivi vers...
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