COLLAGES FEMMES AGRESSEES

 

La rééducation de Paul à la prison Etoile se termine. Comme celle-ci a été réussie, son instructeur le récompense en lui donnant accès à des prisonnières qu'on prostitue.

Il y a avait à Étoile deux mille prisonniers dont huit cent étaient des femmes. La prison d'élite regroupait cinq hommes et deux femmes. Il ne les avait jamais vus pas plus que leurs instructeurs personnels et il n'avait jamais été question qu'il les voit. Quant aux autres, quelle importance avaient-ils ? Aucune.

Parallèlement, Winger continuait de lui procurer des femmes.

-Des filles simples. De petites putains.

Il s'agissait de filles très jeunes, inexpérimentés et effrayées. Inconscient de leur sort et pressés de se trouver son plaisir, Paul les prenait sans leur parler.

-Ce n'est pas du premier choix mais ma demande n'est pas acceptée pour le moment. Elles sont basiques, je le reconnais, mais tu jouis bien...

-Oui, Instructeur.

-Et c'est grâce à moi. Bon, continue de monter celles qu'on te propose.

Paul acceptait. Il faisait l'amour mécaniquement. Quand une des filles pleura, il ne fit pas attention à son désarroi. Elle avait honte. Il ne le voyait pas.

-Note que je respecte infiniment la femme de notre guide ainsi que celles de nos dignitaires. Et naturellement, je suis en bons termes ici avec les épouses des officiers et avec celles qui d'importantes fonctions administratives. Je respecte le travail de quelques gardiennes, aussi mais pas toutes, tu le sais. Je ne parle donc pas des femmes en général mais de ces jeunes putes dont tu as besoin. Elles ne sont rien, juste des trous mais c'est ce dont tu as besoin.

-Je suis d'accord, Instructeur.

Tout de même, Winger s'impatientait.

-Ce serait mieux pour toi. Je vais insister.

Et il eut gain de cause.

-Ah ça y est, tu as accès au vivier des cadres. Des putes de haut niveau, celles-là. Nettement mieux que celles dans lesquelles tu t'es vidé.Tu me diras.

-Naturellement, Instructeur.

Sofia était belle et portait de la lingerie fine. Elle était à même de discuter de sujets divers et se comportait en courtisane accomplie. Peu bavard, pressé de s'accoupler, Paul ne parla pas d'abord. Ils couchèrent ensemble puis elle lui dit :

-C'est la première fois qu'on me présente un détenu qui est, il est vrai, en fin de rééducation. Je ne vois que des gradés et des administratifs haut placés.

-Ah oui ?

-Vous étiez un « Monsieur » avant, ils le savent. Vous avez de belles manières.

Paul, qui voulait la pénétrer ne nouveau, ne répondit pas. Elle insista malgré tout.

-Vous êtes stylé !